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Tout se passe sur Check !

11 Mai

Hello les amis,

Long story short, mon site n’est plus actif depuis quelques temps, mais la bonne nouvelle c’est que désormais, tout se passe dans la galaxie Check.

Check | Hi ! Pop Culture

J’ai la chance de développer cette plateforme web pop et urbaine, en collaboration avec mes amis de Back in the Dayz et Digizik.

Rejoignez-nous.

Yo ? Non, peut-être ! Radio Show

6 Juin

L’aventure Yo ? Non, peut-être ! continue sous différentes formes !

De projections en soirées et passages radio, le documentaire devient un projet complet.

L’occasion de mettre encore et encore les artistes Hip-Hop belges à l’honneur.

Radio Show

C’était le cas en mars dernier, à l’invitation de Radio Campus pour une carte blanche spéciale YNPE.

A la manière d’un « Planète Rap belge », avec mon partenaire Tikal et DJ Doc Lock, nous avons reçu plusieurs MC’s pour des interviews et freestyles pendant 2h de live.

Tout ce show a été capté par la caméra de Macadam TV , un site devenu incontournable dans la culture Hip-Hop en Belgique.

B-Lel:

Nina Miskina:

Sidéral:

Stan:

Rifino (La Rez):

Azzili Kakma et Jean-Jass (Exodarap):

 

Et pour conclure le show en beauté, tous les MC’s présents ont participé à un gros freestyle de 40 minutes. Voici les meilleurs moments clippés par Macadam TV.

 

Pour suivre toutes les infos Yo ? Non, peut-être ! et les clips de rap belge du moment ça se passe ici !

 

Le Top 50 des FAILS du rap français

27 Jan

Vous avez aimé « Les 100 plus grands classiques du rap français »  ?

Alors vous allez kiffer « Le Top 50 des FAILS du rap français » concocté par le Crew des Haterz, les potes qui s’étaient déjà chargés de l’illustration du célèbre classement de l’Abcdr du son.

Pour fêter leur 3e anniversaire, les Haterz nous livrent cette fois une joli collection de « FAILS », de titres honteux, de clips foireux et d’un paquet d’autres absurdités connues ou perdues dans les limbes de l’Internet.

Alors profitez-en,  ça se passe ici.

Et puis un bon anniversaire aux Haterz !

Best friends !

4 Jan

Andy Samberg, pensionnaire du Saturday Night Live et accessoirement le mec le plus marrant du trio The Lonely Island, est une véritable machine à « LOL ».

Dernière preuve en date avec ce clip déjanté et irrévérencieux, dans la plus pure tradition du SNL. Avec son lot de guests habituels, Katy Perry, Matt Damon et Val Kilmer pour le coup !

 

Martin Médias

Martin Médias en interview pour Chronyx.be

26 Mai

On continue toujours sur la thématique de mon documentaire « Yo ? Non, peut-être !« , ici je suis en interview avec le site d’actualité des cultures urbaines Chronyx.be.

L’occasion d’expliquer un peu plus en profondeur le projet, ma démarche et la façon dont j’ai travaillé. Une interview un peu fatiguée, je ne vous le cache pas, résultat de l’enchaînement de nombreuses heures de boulot !

Évidemment je ne révèle pas encore toute l’intrigue et le contenu du docu. Sur 26 minutes de Hip-Hop bruxellois, autant en garder un peu. Il faudra donc encore un peu patienter pour découvrir tout ça ;)

D’ici là, vous pouvez suivre toutes les actualités au jour le jour sur la page officielle du projet.

Le Central Park Festival le 29 juin à Bruxelles

18 Mai

Salut à tous!

Martin Médias est partenaire d’un gros événement en cette fin d’année académique et c’est à ce titre que je vous parle du « Central Park Festival » , le premier festival étudiant, bruxellois et durable.

Le mercredi 29 juin, les étudiants des différentes écoles ou universités, flamands comme francophones,  sont attendus au Parc du Cinquentaire pour assister aux nombreux concerts et animations prévus pour l’occasion. Deux scènes accueilleront une vingtaine de groupes et de DJ’s pour fêter la fin des examens en musique.

Par ailleurs, le festival met les questions de la protection de l’environnement au centre de ses attentions. L’événement se veut durable et écologique.

Comme Martin Médias est plutôt cool, vous avez pu participer à un concours (facile)  sur la page Facebook de Martin Médias pour gagner des places pour l’événement !

Dix heureux gagnants ont été tirés au sort par la main innocente de Deborah VT, les voici : Alexandre Lefebvre, Benjamin Wéry, Benoît Matterne, Dalilah Mon-nom, Florentina Bajraktari, Johny Colère, Kristell De Potter, Marine Clément, Mehdi Khrouz et Valentin Bosmans. Félicitations à eux et merci à tous pour votre participation !

Les vainqueurs peuvent à présent (rapidement) m’envoyer un e-mail (martinvachiery@gmail.com) pour confirmer leur présence et leur identité (en cas de pseudo Facebook), ils recevront toutes les informations pratiques en retour.

En cas de désistement, un nouveau tirage au sort sera effectué pour réattribuer les places.

Rendez-vous le 29 juin !

13Hor, poids lourd à coeur ouvert

28 Avr

13Hor, une plume lourde et efficace qui oscille en permanence entre esprit Hip-Hop, « egotrips » et transmission de savoir. D’un projet à l’autre, d’un album au suivant et de chansons en chansons, l’artiste étonne et surprend par la diversité de son écriture.

Une seule chose ne change pas: « Bruxellois je suis, je le reste et le représente », le programme est lâché par ce MC belgo-congolais. 13Hor est l’une des figures les plus actives et revendicatrices du mouvement Hip-Hop de la capitale.

Pour preuve, il a repris l’hymne new-yorkais « Empire State of Mind » (de Jay-Z et Alicia Keys) à son compte en livrant une convaincante version bruxelloise du tube avec « Empire State of Brussels » entouré d’Aziza et de son comparse Daddy K (ex- Benny B).

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De la force et du mental

Le MC bruxellois est l’un des artistes les plus productifs de la scène actuelle avec pas moins de 3 albums à son actif. Le dernier en date, « Cris du coeur », est un projet très abouti, riche et complet qui ressemble bien à l’artiste et à ses univers.

De chansons plus engagées ou simplement inspirées par ses racines comme « Quand la guerre distribue les rôles », « 1960 gravé dans vos coeurs » ou encore « Comme en été 68 » on passe à de gros titres bourrés de punchlines comme « Bruxellois », « Couilles-Sta » ou « Faites place ».

Quoi de plus normal que de se pencher sur ce personnage dans Yo ? Non, peut-être ! Pour l’occasion, son freestyle est ici un extrait de son album avec le titre « Les Braves ».

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Tu vois comment ?

Et je ne résiste pas non plus à partager avec vous son dernier clip « Tu vois comment ? » qui s’inscrit parfaitement dans la démarche et l’esprit du documentaire. Les plus connaisseurs d’entre vous reconnaitront aisément bon nombre de têtes connues du mouvement Hip-Hop bruxellois.

La Rez, voix des quartiers bruxellois

15 Avr

Parmi les nombreux rappeurs que j’ai croisé pour Yo ? Non, peut-être !, il est impossible d’en trouver deux semblables. C’est aussi ce qui fait la richesse de ce mouvement. De James Deano à 13Hor, en passant par L’AB7, Scylla, B-Lel, Gandhi ou encore La Rez, chacun pratique un Hip-Hop différent, cultive son personnage et distille des messages aussi variés et complexes que cette ville.

La Rez fait figure ici d’un rap « de quartier ». Mais qu’on ne s’y trompe pas, déjà cette appellation est sans doute réductrice. L’idée n’est pas d’enfermer un groupe ou un artiste dans un format cloisonné et communautarisé, simplement d’observer et d’analyser ce qui fait la force de ces artistes.

Concerts bouillants

Il suffit d’aller faire un tour dans les concerts de Guillotine Records (La Rez, La Révolte,…) pour mesurer l’énorme popularité de ces artistes. Sans passages en radio (comme beaucoup de rappeurs bruxellois) et sans faire une profusion de scènes, La Rez arrive à fédérer tout un public de fans issus des quartiers populaires de la capitale.

Un succès d’autant plus mesurable que leurs concerts agités et parfois chauds, tranchent avec les autres événements Hip-Hop belges qui sont malheureusement trop souvent des concerts où le public garde les mains dans les poches plutôt que de donner de la voix.

Un « rap de rue » ?

Mais tordons le cou aux clichés,  l’idée qu’un groupe représenterait le rap des quartiers, n’exclut évidemment pas les autres rappeurs de ce genre là. Le rap est une musique urbaine qui trouve sa source et son public originel dans les quartiers.

L’élargissement du public Hip-Hop est la preuve que les messages transmis et la musique défendue touche une forme d’universalité qui ne laisse personne indifférent et certainement pas les intellectuels. La Rez ou La Révolte ne sont évidemment pas les seuls défenseurs d’un « rap de rue » (un pléonasme si on y regarde bien !) mais ils en sont sans doute une bonne ‘illustration. Voici le freestyle de Rifino.

En France, de nombreux rappeurs ont assuré un cours de géographie urbaine en plaçant leur département sur la carte du rap et dans la tête d’un public qui dépasse le cadre du Hip-Hop. Jusqu’en Belgique, tout le monde connait le « 93 » (Seine-Saint-Denis) grâce à Joey Starr et Kool Shen, le « 94 » (Val-de-Marne) de la la Mafia K’1 Fry et de Rohff , Les Sages Po’ ou Booba avec le « 92 » (Hauts-de-Seine) et beaucoup d’autres.

A Bruxelles, la mode est arrivé vers la fin des années 90, mais dans un pays sans département, c’est la commune qui a pris la place de la revendication identitaire.

1080, 1050, 1190…

Célébré parfois avec ironie, humour ou une réelle volonté de mettre son quartier en avant, le code postal prend une place essentielle dans le lexique des rappeurs belges. Ici, les « 1190 » (Forest), « 1030 » (Schaerbeek), « 1070 » (Anderlecht), « 1080 »  (Molenbeek), « 1210 » (Saint-Josse), « 1140 » (Evere), « 1050 » (Ixelles) sont tagués, criés en concert, dédicacés en chansons et largement revendiqués par certains acteurs de la scène Hip-Hop.

Mais ils n’ont sans doute pas la même valeur de surenchère d’une « street-credibility » qui se mesurerait au degré de violence de la zone dans laquelle on habite.

« 1190 Tu-peux-pas-test « 

B-Lel, Deparone: les gars qui foncent

1 Avr

B-Lel, 22 ans, « une tête d’ange avec une douceur de bucheron » comme il se décrit lui-même dans le clip et le titre qu’il a enregistré pour la dernière compilation Give Me Five.

Un titre fort, puissant et intelligent à l’image de cet artiste reconnu et encore méconnu que certains considère comme la relève du rap bruxellois. Une étiquette qu’il refuse logiquement qu’on lui colle, comme il l’expliquait dans son interview à découvrir prochainement dans Yo? Non, peut-être !

Mais avant le documentaire, il y a toujours ces freestyles que je distille chaque semaine pour lever le voile sur certains acteurs de la scène.

Et quoi de plus normal dès lors que d’associer ce nouveau teaser à Déparone, activiste infatigable du mouvement hip-hop en Belgique

Non content d’avoir rhabillé les magasins comme les bruxellois, il a décidé de tourner aux 4 coins du plats pays avec sa caméra pour capturer des instants d’un monde rap en perpétuelle évolution.

Des freestyles qui s’ouvrent même à l’international et qui l’ont amené aujourd’hui à se lancer dans la réalisation de clip.

A découvrir et à redécouvrir, vous connaissez la chanson, non peut-être ?

L’AB(7/2C), OVNI du Hip-Hop

24 Mar

Qui a dit que le Hip-Hop n’était qu’une musique de gangsters et de voyous ? Certainement pas L’AB7. Issu du collectif OPAK, groupe hybride et culte pour les fans de rap en Belgique, il a écumé de nombreuses scènes en compagnie de Scylla, Karib et Masta Pi. Aujourd’hui c’est en solo que L’AB7 poursuit sa carrière.

L’artiste a un profil et un style plutôt atypique:  tatouages et look punk-rock n’roll, auxquels il vient y greffer des accessoires Hip-Hop et bling-bling qui lui ont permis de se construire tout un personnage original. Un personnage qui trouve son alter-ego en la personne de L’AB2C, alias le vilain double de L’AB7 qui se fringue en rose et raconte des horreurs au microphone.

 

Dualité / technicité

De cette dualité, entre un rappeur sombre et conscient et un clown obsédé sexuel, est née un artiste complet en marge d’un mouvement Hip-Hop parfois très strict et très « street ». Qu’à cela ne tienne, avec des années de « Battles » et de scènes partout en Belgique, l’artiste a réussi à la sueur du micro à rallier à sa cause une grande partie de la scène rap, dans toute sa diversité.

Le voici donc logiquement en freestyle pour Yo ? Non, peut-être !, dans une vidéo tournée par moi-même à Schaerbeek, montée encore une fois par Majin Tikal.